Une bonne définition du courage pourrait être d’accepter et d’aimer, soi-même et son prochain, tels quels – sans détour, sans mensonge et sans concession.
Vivre courageusement serait donc revendiquer ses droits, dans le respect des autres, et être prêt à les défendre, coûte que coûte.
Faire preuve de courage peut isoler ; le mot « courage » deviendrait donc un verbe : une décision active, forte, profonde, une décision, presque philosophique, d’analyser les choses de la vie en profondeur, et d’aller de l’avant, résolument.
Construire grand prend du temps : il faut du courage pour semer, arroser, nourrir ses convictions profondes jusqu’à ce qu’elles prennent racine, fleurissent et portent leurs fruits.
Se donner un objectif précis pourrait même devenir un acte de courage. Prendre la décision de bâtir le bien est un marathon de longue haleine : plus qu’un risque, une décision de vie. La réussite ne se fera qu’au prix d’une grande endurance.
Le courage imbibe tout, jusqu’aux rêves, juste parce qu’on y croit. Le courage, c’est tout simplement être soi-même : accepter forces et faiblesses, renforcer les unes et accepter les autres.
Telle est la philosophie de l’Atelier Bravig.